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En ce 11 Novembre 2010,
je vous offre cette citation.
Ce que nous prenons pour la paix n'est qu'un armistice entre les conflits :
<la planète grouille, saigne, et ne saurait vivre sans cette violence>
"Jean Cocteau."
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Un armistice met fin à la Grande Guerre
Lundi 11 novembre 1918, 11 heures : dans toute la France, les cloches sonnent à la volée.
Au front, les clairons bondissent sur les parapets et sonnent le «Cessez-le-Feu», «Levez-vous», «Au Drapeau». La «Marseillaise» jaillit à pleins poumons des tranchées. Même soulagement en face, dans le camp allemand.
Pour la première fois depuis quatre ans, Français et Allemands peuvent se regarder sans s'entretuer. Un armistice (arrêt des combats) a été conclu le matin entre les Alliés et l'Allemagne, dernière des Puissances Centrales à rendre les armes. Il laisse derrière lui huit millions de morts et six millions de mutilés.
Les survivants ont perdu la foi dans les valeurs morales et spirituelles qui ont fait la grandeur et l'unité de l'Europe. Mais ils veulent croire que cette guerre qui s'achève restera la dernière de l'Histoire, la «der des der»...
Voir le texte intégral de la convention d'armistice :
La défaite inéluctable de l'AllemagneDès l'échec de leur contre-offensive de juillet 1918, les Allemands ont compris qu'ils n'avaient plus aucun espoir d'arracher la victoire.
C'est que les troupes américaines, fortes de quatre millions d'hommes, arrivent en renfort des Anglais et des Français.
Le 3 octobre, convaincu de l'inéluctabilité de la défaite, l'empereur Guillaume II nomme à la chancellerie (la direction du gouvernement) le prince Max de Bade. Il espère que cet homme modéré saura obtenir des conditions de paix convenables de la part des Alliés.
Les Puissances Centrales se délitentL'Allemagne bascule dans l'anarchie et la guerre civile.
Le 3 novembre, dans le port de Kiel, les marins de la flotte de guerre refusent d'aller à nouveau au combat. Ils se mutinent et entraînent les ouvriers de la ville. La contagion révolutionnaire se répand à Hanovre, Cologne, Brunswick, Munich...
Entre temps, l'un après l'autre, les alliés de l'Allemagne cessent les combats et signent des armistices, dans l'attente d'un traité de paix en bonne et due forme.
Le 9 novembre au matin, la contagion révolutionnaire gagne Berlin. Le prince Max de Bade téléphone à l'empereur, à Spa. «Votre abdication est devenue nécessaire pour sauver l'Allemagne de la guerre civile», lui dit-il. Comme ses propres généraux plaident aussi en faveur de l'abdication, Guillaume II s'y résout et part en exil.
Un armistice mal acceptéLes militaires s'étant défaussés, c'est à un civil, Matthias Erzberger, que revient la pénible tâche de négocier l'armistice.
En France, la demande d'armistice fait débat. Le président de la République Raymon Poincaré et le général Philippe Pétain voudraient profiter de l'avantage militaire pour chasser les Allemands de Belgique, envahir l'Allemagne elle-même et signifier à celle-ci l'étendue de sa défaite. Mais le généralissime des troupes alliées, Ferdinand Foch, et le chef du gouvernement, Georges Clemenceau, ne croient pas l'armée française capable de se battre encore longtemps et souhaitent en finir au plus vite.
L'armistice est signé dans le wagon spécial du généralissime Foch, au carrefour de Rethondes, au milieu de la forêt de Compiègne, le 11 novembre à 5h15 du matin.
Les Français ne manquent pas de noter que ce jour est la fête du saint patron de leur pays, Saint Martin.
Les Allemands se voient soumettre des «conditions » sans aucune marge de négociation :
– Ils doivent livrer l'essentiel de leur armement, de leur aviation et de leur flotte de guerre.
– Leur armée est sommée d'évacuer sous 30 jours la rive gauche du Rhin (en Allemagne même) ainsi que trois têtes de pont sur la rive droite, Coblence, Cologne et Mayence.L'armistice est conclu pour 36 jours mais sera régulièrement renouvelé jusqu'au traité de paix du 28 juin 1919.
Amertume des vaincusLa demande d'armistice étant venue des représentants civils et non militaires de l'Allemagne, ces derniers échappent à l'infâmie de la défaite. À Berlin, les représentants de la jeune République accueillent les combattants en ces termes : «Soldats qui revenez invaincus»
Dans les mois qui suivent l'armistice, les généraux Ludendorff et Hindenburg attribuent avec aplomb la défaite militaire à un «coup de poignard dans le dos» de la part des politiciens et des bourgeois cosmopolites. L'expression est reprise avec ferveur par les Allemands meurtris et humiliés. Elle va faire le lit des partis ultranationalistes, dont le parti nazi.
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Coucou mes Ami(e-s)
Je vous offre un péle-mèle de photos
que Jean-Charles prend plaisir à réaliser
à chaque saison.
L'Automne aux multiples couleurs.
notre chemin vers la forêt.
mon village
Vue de la maison.
Vous avez connu la base de loisirs au printemps..!
La voilà à l'Automne.
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Dans tous les pays du monde
le sourire parle la même langue.
*Les sourires sont bien peu de
chose, c'est certain;
Mais semés le long de nos vies,
ils nous font un bien inouï.*
*Que la bonté se lise sur ton visage,
dans tes yeux, dans la chaleur
de tes paroles.
Aux enfants, aux pauvres,
à tous ceux qui souffrent ou qui sont seuls,
offre toujours ton plus beau sourire.
Ne te contente pas
de leur donner ton temps,
donne-leur aussi ton coeur.*
*1) Joseph Addison (1672-1719)
*2) Mère Teresa (1910-1997)*
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Coucou mes Ami(e-s)
Ravie d'être de nouveau
parmi vous.
Ce 2ème blog
sera diversifié, gai , plein
d'Affection - d'Amitié
et d'Amour.
Bonne journée
Bises à vous tous et toutes.
Malika.
N'oubliez pas de me
laisser votre adresse.
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