• Je veux rêver...
    rêver d'une vie sans médicaments.
    Je veux rêver...
    rêver d'une vie sans traitement.
    Je veux rêver...
    rêver d'une vie sans examens.

    §§§§§§

    Je veux rêver est-ce si compliqué ?

    §§§§§§

    Je veux rêver...
    rêver d'une vie sans douleurs.
    Je veux rêver...
    rêver d'une vie sans angoisse, ni pleurs.

    ££££££

    Je veux rêver est-ce si compliqué ?

    ££££££

    Je veux rêver...
    rêver et m'évader
    rêver tout simplement pour vivre des jours meilleurs
    et avoir la force de continuer
    à me battre
    et gagner.

    $$$

      


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  • Prenons conscience

    De ce qui nous tient

    Réellement à cœur.

    Faisons-nous conseiller

    Si nécessaire.

    Lisons des livres

    Sur la façon

    D’atteindre nos objectifs ;

    De les visualiser,

    Et utilisez nos outils

    Pour commencer

    Une Vie  Nouvelle

     

        < En 2013 >

     

    Allez de l’Avant… !

     

    Ma Liberté.

     

    Je ne voudrais pas

    Parvenir au terme de

    Ma Vie et m’apercevoir

    Que je l’ai simplement vécue

    Dans toute sa longueur.

    J’aimerais l’avoir vécue aussi

    Dans toute sa largeur.. !

     

    L’Année 2012

     

    se termine bientôt,

     

    C’est le moment d’écouter de la musique,

    Le moment d’écrire, de peindre, d’apprendre.

     

    Le moment de remettre notre

        Vie à plat.

     

    Le moment de recommencer… !

    La passion s’est assagie, mais

    Quelque chose de meilleur a pris sa place.

     

    La chaleur, la tendresse, l’Amitié,

         « Un Amour durable »…. !

    Ceux-ci est pour vous mes Ami(e-s)

    J’ai l’intime conviction

    Que la relation

    Aux autres êtres – mes ami (e-s)

    Du Net – est l’élément à la fois

    Le plus mystérieux  et le plus

    Significatif de ma vie

    Personnelle et en définitive

    De toute l’évolution cosmique… !

     

     

    Je vous souhaite la joie,

    La paix  et la satisfaction profonde.

    Et toujours et surtout, l’Amitié et

                     L’Amour.

    « au cours de mes lectures ».

     

     

     


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  • POURQUOI l'ANNEE COMMENCE-T-ELLE LE 1er JANVIER ?


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    Débuter l’année le premier janvier n’a pas toujours été le cas et, en quelques lignes, nous allons évoquer les principaux « jour de l’an » de l’histoire.

     

    A l’époque des Gaulois, les druides avaient décidé que l’année commencerait le jour du premier quartier de lune après le solstice d’hiver, date qui peut varier énormément de plusieurs semaines.

     

    En 46 avant J.C, l’empereur Jules César décida de remplacer l’ancien calendrier lunaire par un calendrier solaire, appelé calendrier Julien. Celui-ci débutait le 1er mars en l’honneur du dieu romain de la guerre. Dans ce calendrier septembre était le « septième » mois, octobre le « huitième », novembre le « neuvième » et décembre le « dixième »….Ce calendrier comptait 12 mois et 365 jours, une journée supplémentaire étant ajoutée tous les 4 ans, à l’occasion des années bissextiles.

     

    En 532, le Pape Libère décide de faire commencer l’année le 1er janvier mais cette décision n’est pas acceptée par tous si bien que chaque région de France avait son propre calendrier. A cette époque là, dans le Poitou, on avait choisi Noël comme début de l’année. Dans d’autres régions, Pâques était le jour de l’an car c’est la date anniversaire de la résurrection du Christ. Mais la date de Pâques est mobile et fonction de la Lune. Elle peut osciller entre le 21 mars et le 26 avril. On se trouvait donc avec des années plus courtes les unes que les autres ce qui ne s’avérait pas très pratique. Bref, à cette époque là, c’était un peu l’anarchie dans le calendrier.

     

    Finalement le 9 août 1564, par l’Edit de Roussillon, le roi Charles IX imposa le 1er janvier comme point de départ obligatoire de chaque année. Or, depuis le calendrier Julien, comme signalé plus haut, on avait pris l’habitude d’ajouter à l’année un jour de plus tous les 4 ans. Or, ce système fait que l’année se décale de 11 minutes par an par rapport au Soleil. Que faire ?

     

    En 1582, le pape Grégoire XIII propose le calendrier grégorien et suggère de récupérer d’un seul coup les 10 jours d’avance sur le Soleil qu’avait pris le calendrier. C’est ainsi que le lendemain du jeudi 4 octobre 1582 fut le vendredi 15 octobre (*)

     

    Dernier changement qui n’a tenu que 13 ans : le calendrier républicain établi par la Convention. Il prit effet le 22 septembre 1793 et le début de l’année correspondait à l’équinoxe d’automne, date qui peut varier du 22 au 24 septembre. C’est en 1805 que ce système fut abandonné pour revenir au calendrier grégorien afin que les européens utilisent tous le même calendrier. C’est celui que nous utilisons de nos jours.

     

     

    (*) de nos jours, afin de ne pas subir de telles situations, il a été décidé que les années de siècles non divisibles par 400 ( 1700, 1800, 1900, 2100…) qui devraient être bissextiles ne le seraient pas.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • La légende du chevrier


    Comme ils n’ont pas trouvé place à l’hôtellerie,
    Marie et saint Joseph s’abritent pour la nuit
    Dans une pauvre étable où l’hôte les conduit,
    Et là Jésus est né de la Vierge Marie.

    Il est à peine né qu’aux pâtres d’alentour,
    Qui gardent leurs troupeaux dans la nuit solitaire,
    Des anges lumineux annoncent le mystère.
    Beaucoup sont en chemin avant le point du jour.

    Ils portent à l’enfant, couché sur de la paille
    Entre l’âne et le boeuf qui soufflent doucement,
    Des agneaux, du lait pur, du miel et du froment,
    Tous les humbles trésors du pauvre qui travaille.

    Le dernier venu dit : « Trop pauvre, je n’ai rien
    Que la flûte en roseau pendue à ma ceinture,
    Dont je sonne la nuit quand le troupeau pâture.
    J’en peux offrir un air, si Jésus le veut bien. »

    Marie a dit que oui, souriant sous son voile...
    Mais soudain sont entrés les mages d’Orient ;
    Ils viennent à Jésus l’adorer en priant,
    Et ces rois sont venus guidés par une étoile.

    L’or brode, étincelant, leur manteau rouge et bleu,
    Bleu, rouge, étincelant comme un ciel à l’aurore.
    Chacun d’eux, prosterné devant Jésus, l’adore :
    Ils offrent l’or, l’encens, la myrrhe, à l’Enfant-Dieu.

    Ébloui, comme tous, par leur train magnifique,
    Le pauvre chevrier se tenait dans un coin ;
    Mais la douce Marie : « Êtes-vous pas trop loin
    Pour voir l’Enfant, brave homme, en sonnant la musique ? »

    Il s’avance troublé, tire son chalumeau
    Et, timide d’abord, l’approche de ses lèvres,
    Puis, comme s’il était tout seul avec ses chèvres,
    Il souffle hardiment dans la flûte en roseau.

    Sans rien voir que l’Enfant de toute l’assemblée,
    Les yeux brillants de joie, il sonne avec vigueur ;
    Il y met tout son souffle, il y met tout son coeur,
    Comme s’il était seul sous la nuit étoilée.

    Or, tout le monde écoute avec ravissement ;
    Les rois sont attentifs à la flûte rustique,
    Et quand le chevrier a fini la musique,
    Jésus, qui tend les bras, sourit divinement.

     

     

    Jean AICARD,
    Les chansons de l’enfant, 1875.

     

     

     


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